dernier trimestre 2020

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Un petit point sur les activités du Groupe Local Grand Montpellier de la LPO Hérault

Malgré les contraintes sanitaires, nous avons pu nous réunir 2 fois à la Maison Pour Tous Chopin en nous adaptant aux différentes consignes. Nous étions heureux de nous retrouver mais attristés par toutes ces barrières. C’était les 18 septembre avec Gérard pour Les Oiseaux du Salaison et du Crès et le 2 octobre avec Loraine pour Le Hérisson d’Europe.

Puis est venu le temps d’un confinement. Même s’il est moins contraignant que le 1er, le résultat pour nous comme pour d’autres est catastrophique. Comment accepter de ne plus pouvoir avoir aucune action, aucune rencontre ?

Nous avons considéré qu’il fallait nous saisir d’outils existants pour organiser des visioconférences. Le distanciel n’est pas la panacée, mais pourquoi ne pas essayer. Un tout petit peu de raté et de stress, et hop c’était parti.

La première visioconférence a eu lieu. La représentation des Oiseaux dans l’Art, le 18 novembre, a été l’occasion d’accueillir 27 invités. Très bien pour un début. Il a fallu s’adapter. Moi, à ne pas voir les invités pendant le partage d’écran pour la projection du diaporama. Les invités à la prise de parole et le chat. Certains plus à l’aise que d’autres. Encore quelques dates et tout le monde sera au top.

Pour les personnes qui ont bien voulu s’y prêter, la soirée s’est terminée par un petit jeu. Il fallait répondre à 3 questions.

Quelle est l’œuvre que vous avez le plus apprécié ? Quelle est l’œuvre que vous avez le moins aimé ? Quelle est l’œuvre qui vous a le plus surpris ?

Voici les réponses données :

Dans les plus : les géoglyphes du Pérou, le Macareux de Buffet, la plus ancienne sculpture aviaire connue, la série d’estampes horizontales intitulée Grandes fleurs de Hokusai, la fresque chasse dans les marais au fond d’un tombeau égyptien, le Hibou moyen duc de la Grotte Chauvet, la Pie de Monet.

Dans les moins : les bijoux oiseaux du paradis d’une grande collection, les Oiseaux frégates de Denis Nona art aborigène australien, les tatouages de Valentine Green, le tableau Angoisses d’August Friedrich Schenck.

Les surprises : les pièces du musée de Lattes, tatouage vol d’oiseaux et de papillons dans le dos d’une femme, les tatouages polynésiens, la sculpture monumentale indienne Jatayu de l’équipe Rajiv Anchal.

Enfin, Guyveline nous conseille le livre « Les Oiseaux » de Jonathan Elphick.

Je vous dis à bientôt pour la prochaine conférence avec Francis Hallé: comparaison des forêts d'Europe avec  les forêts tropicales. Ce sera le mercredi 20 janvier 2020 à 19h. Bonnes fêtes de fin d'année. Martine

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